Andrew Johnson est né en 1808 dans le Tennessee. Il a grandi dans une famille de modeste condition et n’a pas reçu d’éducation formelle. Il a commencé sa carrière politique en 1829 en tant que membre du conseil municipal de Greeneville. En 1833, il a été élu au Congrès des États-Unis, où il est resté jusqu’en 1837. Après un bref mandat au Sénat des États-Unis, il est devenu gouverneur du Tennessee en 1853.
Andrew Johnson : jeunesse et carrière
Andrew Johnson, né le 29 décembre 1808 à Raleigh, en Caroline du Nord, est un homme d’État américain qui a servi comme dix-septième président des États-Unis. Johnson a été sénateur du Tennessee de 1843 à 1853 et gouverneur de ce même État de 1853 à 1857, avant d’être élu vice-président des États-Unis en 1864. Après l’assassinat du président Abraham Lincoln, Johnson a été président pendant les derniers mois de la guerre civile américaine et les premiers mois de la période de Reconstruction qui a suivi.
Johnson est né dans une famille pauvre. Son père, Jacob Johnson, était un tailleur et sa mère, Mary « Polly » McDonough, était une femme au foyer. Johnson a été élevé dans la religion méthodiste. Il a quitté l’école à l’âge de dix ans pour travailler et n’a jamais été formellement instruit. Avant d’entrer en politique, Johnson a été tailleur, comme son père.
En 1827, Johnson s’est marié avec Eliza McCardle, une couturière. Le couple a eu cinq enfants : Robert, Andrew, Martha, Charles et Mary.
Johnson a été élu au Congrès des États-Unis en 1843, représentant le Tennessee. Il a été réélu en 1845 et en 1847. En 1853, il a été élu sénateur du Tennessee. En 1856, Johnson a été nommé gouverneur du Tennessee. En 1861, il a refusé de signer une proclamation d’abolition de l’esclavage du président Abraham Lincoln, mais il a soutenu la Union dans la guerre civile.
En 1864, Johnson a été choisi comme candidat à la vice-présidence des États-Unis par le parti républicain. Il a été élu et a servi comme vice-président de 1865 à 1869.
Le 14 avril 1865, Abraham Lincoln a été assassiné par John Wilkes Booth. Johnson a été président des États-Unis pendant les derniers mois de la guerre civile et les premiers mois de la période de Reconstruction qui a suivi.
À la suite de l’assassinat de Lincoln, Johnson a hérité d’un pays en guerre. La guerre civile avait fait plus de 600 000 morts et la nation était profondément divisée. La tâche de Johnson était de reconstruire le pays et de ramener les États du Sud dans l’Union.
La question de la place des anciens esclaves dans la société américaine a été l’un des problèmes les plus difficiles à
Andrew Johnson : la guerre civile américaine
Andrew Johnson est né en 1808 dans la ville de Raleigh, en Caroline du Nord. Il a grandi dans une famille pauvre et a été élevé par sa grand-mère. A 15 ans, il quitte l’école pour devenir apprenti dans un atelier de tisserand. Il se marie en 1827 avec Eliza McCardle, une jeune fille dont il a appris à lire et à écrire. En 1828, ils ont un fils, Robert, et en 1830, une fille, Martha.
En 1832, Johnson s’engage dans la milice de l’Etat pour lutter contre les Creeks. Il est élu au Congrès en 1843, puis au Sénat en 1856. En 1860, il est élu Vice-Président des Etats-Unis, sous Abraham Lincoln.
Après l’assassinat de Lincoln, en 1865, Johnson devient Président. Il essaie de mener une politique de conciliation avec les Sudistes, mais son manque de tact et de diplomatie va lui faire perdre l’appui du Congrès. En 1868, il est mis en accusation, mais il est acquitté de justesse par le Sénat.
En 1869, il quitte la Maison Blanche et retourne au Tennessee. Il meurt en 1875.
Andrew Johnson : la présidence
Andrew Johnson, né en 1808, était un politicien américain du Parti démocrate. Il a servi comme vice-président des États-Unis de 1865 à 1869 et comme président des États-Unis de 1865 à 1869, succédant à Abraham Lincoln après son assassinat.
Johnson a été un partisan de la Reconstruction, mais il a été en désaccord avec les radicaux du Parti républicain sur la manière de l’appliquer. Il a veto plusieurs de leurs projets de loi et a été en désaccord avec eux sur la question de la ratification de la Constitution de 1868, qui a donné aux anciens esclaves le droit de vote. En 1868, le Parti républicain a mis en accusation Johnson, mais il a été acquitté par le Sénat.
Johnson a été considéré comme un président ineffectif et a été peu impliqué dans les affaires du gouvernement après sa présidence. Il est mort en 1875.
Andrew Johnson : la retraite et l’héritage
Andrew Johnson, le 17e président des États-Unis, est né à Raleigh, en Caroline du Nord, en 1808. Il fut le premier et le seul président à être mis en accusation, et il resta en fonction de 1865 à 1869. Johnson a passé les dernières années de sa vie à Greeneville, dans le Tennessee, où il est mort en 1875.
Malgré sa mise en accusation et sa destitution, l’héritage de Johnson est généralement positif. Il est loué pour ses politiques de reconstruction, qui visaient à reconstruire le Sud après la guerre civile et à garantir les droits civils des Afro-Américains. On lui doit également la signature du Homestead Act, qui a donné des terres gratuites aux colons de l’Ouest, et du National Banking Act, qui a contribué à stabiliser l’économie.
Andrew Johnson par lui-même
Andrew Johnson est né en 1808 dans le Tennessee. Il a grandi dans une famille pauvre et il a été élevé par sa grand-mère. A l’âge de 17 ans, il a quitté l’école et a commencé à travailler comme apprenti tailleur. En 1827, il a ouvert sa propre boutique de couture à Greeneville.
En 1831, il s’est marié avec Eliza McCardle. Ensemble, ils ont eu cinq enfants : Martha, Charles, Mary, Robert et Andrew Jr.
En 1833, Johnson a été élu au Congrès des États-Unis, où il a servi jusqu’en 1837. En 1843, il est devenu gouverneur du Tennessee. En 1853, il a été élu au Sénat des États-Unis, où il a servi jusqu’en 1857.
En 1861, Johnson a été élu vice-président des États-Unis. En 1865, après l’assassinat du président Abraham Lincoln, Johnson a été inauguré comme président des États-Unis. Il a servi jusqu’en 1869.
Après avoir quitté la présidence, Johnson est retourné dans son État natal, le Tennessee. Il est décédé en 1875.
Andrew Johnson a été un président américain controversé. Certains ont été impressionnés par sa capacité à gérer la Reconstruction après la guerre civile, tandis que d’autres ont été déçus par son refus de soutenir les droits des anciens esclaves. Quoi qu’il en soit, Johnson reste une figure importante de l’histoire américaine.